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Woerth sur la Grèce : "L’appel de Sarkozy n’est pas resté lettre morte"

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Oyez, oyez, braves gens ! La Grèce, l'Europe, voire la planète, ont un sauveur : Nicolas Sarkozy ! C'est sensiblement ce que nous a expliqué Eric Woerth ce matin sur l'antenne de BFM...

Le rescapé Eric Woerth, fraîchement relaxé dans l’affaire Bettencourt, revient au meilleur de sa forme, dans les médias notamment où il multiplie les apparitions. Et il faut dire que sur la Grèce, l’ancien ministre du Budget fait preuve d’une analyse très pointue. Il a montré l’étendue de sa réflexion et de sa vision ce matin sur BFM.

Pour le nouveau délégué général au projet des ex-UMP, la situation est en effet très simple. Nicolas Sarkozy a résolu — ou presque — la crise grecque et sauvé l'Europe ! Décidément, cet homme est providentiel ! Que son nom soit loué ! Déjà qu'il avait sauvé, nous avait-on dit, « la démocratie dans le monde » !

Et comment s'y est-il pris cette fois ? En lançant un simple appel (si, si), ce dimanche, depuis Bruxelles, pour que « Monsieur Hollande se ressaisisse et reconstitue une unité avec la chancelière Merkel », un appel en faveur du « leardership franco-allemand » seul capable de résoudre la crise. Et le « leadership », eh bien justement il était dans la pièce d’à côté ! Et il a entendu Nicolas Sarkozy !

« Visiblement l’appel de Nicolas Sarkozy n’est pas resté lettre morte » nous a donc doctement expliqué Eric Woerth sur BFM. La modestie du député de l’Oise l’empêchant d’aller trop loin, l’intéressé s'est retenu quelque peu rappelant que « tous les appels sont importants » et que par conséquent « un ancien président de la République française c’est évidemment important. » Mais cette modestie ne pouvait durer qu'un temps et l'édile nous a expliqué peu ou prou que, étant donné que Nicolas Sarkozy « souhaitait un compromis », c'est exactement ce « que nous [allions] avoir ».

Thalès et Pythagore peuvent aller se rhabiller, le théorème de Woerth, lui, est implacable ! Sa logique est tellement imparable qu'un peu plus tard, Eric Woerth nous a expliqué que « sans Tsipras la Grèce s’en serait déjà sortie. » Heureusement que Sarkozy était là pour sauver le coup ! Qu'on lui élève une statue !

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